Ahhhh Paris. « La
Ville Lumière, » la cité des amoureux. Quand une personne pense à Paris,
elle pense au Louvre, aux crêpes, aux hommes avec des moustaches et des bérets,
une baguette dans la main, une cigarette dans l’autre. Alors, ces images sont
des stéréotypes. J’ai vu un seul béret quand j’étais à Paris, sur la tête d’une
touriste. Mais un des stéréotypes viens d’un fait. Tout. Le. Monde. Fume.
Quand nous sommes
descendus du métro après avoir quitté l’aéroport, nous sommes salués par un
grand nuage de fumée. Quelqu’un a crié, « Mes yeux ! Ils
brûlent ! » Les bébés américains pleuraient, les mamans essayaient de
les protéger, mais pas de succès. Mais, finalement, le nuage a commencé à
disparaître et nous avons vu les grands monuments de Paris. Alors, le nuage n’était
pas fini. Il est retourné. Il retourne toujours.
À Paris, il y a trois
choses les plus importantes : la nourriture, l’amour, et les cigarettes.
Comme j’avais dit, tout le monde fume. Les bébés, dans leurs poussettes, une
cigarette dans une main, il me semble qu’ils veulent dire « Quoi ?
Oh, la ? Haha, c’est normal. Continuez. » Près des bébés, il y a des
chiens, un paquet des cigarettes dans leurs colliers et des chats qui se cachent
dans les rues, qui fument comme les vielles hommes dans un bar de jazz. Ça, ce
n’est pas normal aux États-Unis, mais en France, les jeunes filles et garçons
commencent à fumer avant les jeunes américains.
C’est une réflexion de la culture en France, « Ne vous inquiétez pas.
Toutes les choses seraient ok. » C’est vrai. Tout le monde sait que les
cigarettes ne sont pas des bonnes choses, avec le cancer, l’emphysème et les
autres conséquences. Mais les Français, notamment des Parisiennes, vivent pour
le moment, pas seulement le futur. J’aime ça.
Pour aller aux
monuments, on doit utiliser le transport public, parce que les pierres dans les
rues de Paris sont dures sur les pieds. Cependant, comme toutes les autres
villes dans le monde, à Paris, on doit traverser les rues. C’est un danger à
tous, parce qu’à Paris, il n’y a pas de règles pour des rues. Oui, il y a des
feus, des signes, mais les conducteurs conduisent comme des fous. Il paraît
qu'on voit toute sa vie défiler devant ses yeux juste avant de mourir, et je
l’ai vue. Nous étions en train de traverser une rue quand une personne sur un
Vespa a volé devant moi. Dans un instant, j’ai vu ma naissance, mes
anniversaires, le jour où j’ai utilisé un bicycle pour la première fois. J’ai
pensé que j’étais tué par la Vespa, au centre de Paris. « Ici repose
Megann ; elle n’a jamais vu ce Vespa. » Mais c’était un miracle-je
suis là !
Quelque chose d’amusant
est que la conductrice du Vespa n’a pas arrêté, elle ne m’a pas regardé. Elle a
continué à conduire. Toujours à Paris, tout le monde doit être ailleurs. Tout
le monde court. Je ne peux pas marcher trop vite-je viens de la Nouvelle-Orléans !
Les deux fois quand on doit marcher trop vite sont pour chasser les camions
pendant le Mardi Gras et quand quelqu’un dit « alcool
gratuits ! » À Paris, les personnes connaissent que le monde ne s’arrête
pour personne. On doit court quelquefois pour expérience la vie quand elle est
là.
Si quelqu’un me
dit, « Paris, c’est magique, cette ville ! » Je vais dire,
« Oui. Mais pour d’autres raisons auxquelles que tu penses. » Oui,
Paris est magique à cause des grands bâtiments et les tours et les arcs. Oui,
Paris est magique parce qu’il y a beaucoup de nourriture et des lumières. Mais
une grande partie de la magie de Paris est grâce aux habitants. Les personnes
de Paris savent que leur ville est une des meilleures villes dans le monde, une
ville que tout le monde connaît. Ça c’est la raison pour laquelle ils vivent
pour aujourd’hui. Parce que s’ils ne pensent qu’à l’avenir, ils manqueraient la
majesté de Paris.
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