25 June 2015

Errer les piétonniers

Nice, Baux de Provence, Aix-en-Provence, St. Remy, Menton—des villes aussi différents que des flocons de neige. Chaqun me laissait entrer et a appuye leur propre emprente digitale sur mon esprit. Cependant, chaqun m'attirait par la même façon : les piétonniers. Ils sont les petits rues qu'on peut traverser seulement aux pieds. Même si les voitures ne sont pas interdit, je pense que les petites rues où on marche dans la rue parce qu'il n'y a pas assez d'espace pour toi et les voitures, ils sont aussi des piétonniers. 



Chaque ville a des piétonniers et chaque ville offre une expérience completement différente. À Aix, j'étais mené par le chaleur à trouver l'ombre, où je trouvait les magasins avec les chemises pour 600€ et les vestes pour 1 000€. À Baux de Provence, je prennais des photos des villes dans la vallée en bas pendant que je traversais les rues qui montaient vers l'ancien château, tout en buvant une granite et je me grisais de la carrière, sa grandeure et son frâicheure. À St. Remy, je trouvais un coin résidentiel du centre cille où j'ai pris quelques photos des chats qui dormaient à la derrière d'une maison.



 À Nice je m'éloignais sur la plage, nageais dans la mer et baladais par les piétonniers tondues du vieux ville. À Menton, j'errais à travers les piétonniers en regardant les personnes qui assisaient dans les cafés et une exposition emerveillante des bonbons et des chocolats. 



Avec ces séjours pendant les week-ends, Jean-Chaix devenait vraiment notre foyer. Pendant les semaines, on travaille avec les gens de la vallée, fait des randonnées, boit un café à Chucas et chaque soir mange bien à Jean-Chaix. Le temps passe vite et chaque nuit, on tombe au lit, épuisé à cause des choses formidable qu'on faisait pendant la journée. 










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